Si seulement c’était la consigne d’un autre jour. 365 autres
possibles. Mais non. Même pas un hasard. Je ne peux pas l’éviter. Ni faire
semblant d’avoir oublié. Incontournable.
Quatre avril: jour anniversaire de ma mère, disparue depuis
longtemps…mais tellement vivante dans des souvenirs trop lourds.
Son amour.
Sa douceur et sa fragilité.
Puis sa maladie qui nous avait envahies, elle et moi,
pendant d’interminables années.
Ses efforts inutiles pour dire sa souffrance, mon
impuissance à la comprendre.
Stop. Je referme la boîte à douleur.
Trop de larmes restent à verser pour ces chagrins insupportables
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