Plutôt marrante, la consigne du jour.
En-dehors des élections, on nous sonde déjà de tous côtés. Sur
tout et n’importe quoi.
Lorsque des scrutins s’annoncent, c’est encore pire.
Il n’empêche. Voici plusieurs mois que je dresse l’oreille dès
que le mot « sondage » sort du poste. Certains traumatismes rendent
nerveux.
Ce matin, la glose concernait à nouveau les sondages.
Sont-ils les premiers perdants ? Avaient-ils prévu le
score FN ? De combien se sont-ils trompés concernant J-LM ? Et quid
de l’écart entre FH et NS ? Etc.
J’essaie, malgré tout, de m’informer sur le net et j’apprends
ceci :
« Les catholiques pratiquants réguliers ont voté à 47% pour
Nicolas Sarkozy au premier tour de l'élection présidentielle, selon un sondage
exclusif La
Vie-Harris Interactive, contre 14% pour François Hollande. »
A la fin de l’article :
« 64% des Français se déclaraient catholiques en 2009 (soit
41,5 millions), contre 87% en 1972. Mais, seulement 4,5% des Français se
déclarent pratiquants en 2009 contre 20% en 1972). »
On remarque ainsi la très haute importance du résultat de ce
sondage.
Il concerne 4,5 % des Français. Ou moins.
Ceux qui se placent dans le paquet des « catholiques
pratiquants » seront peut-être heureux de le savoir. Pour les autres…
Quoique.
J’ai noté en passant que les «catholiques
pratiquants» appartiennent à une «espèce» en voie de
disparition.
Au vu d'une telle débâcle, le grand-père de D. doit gémir dans sa tombe.
Au vu d'une telle débâcle, le grand-père de D. doit gémir dans sa tombe.
Ton billet est très intéressant, il m'a fait sourire et tu n'imagines pas ce que cela m'a fait du bien en ce lendemain de grande tristesse.
RépondreSupprimerChouette alors !
RépondreSupprimerRire: sûrement le meilleur remède...pour maintenant et surtout pour la suite
A bientôt